Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ca d'Oro sur la grande Bleue

Golfe de Gènes

24 Juin 2019 , Rédigé par Vincent et Catherine Crespy

La remontée de la Corse coté Est de Porto Vecchio à Bastia via Solenzara n’a rien de remarquable, à part la vision des sommets enneigés.
A Bastia, on profite des vents forts annoncés le long du Cap Corse, pour visiter une fois de plus la ville.

Beau temps dès le lendemain, donc départ pour Elbe dès l’aube, car le thermique de l’après midi est annoncé fort.

Nous plantons l’ancre dans un joli fond de sable, dans la petite baie de Barbatoia, au SO de l’île.

Mouillage magnifique, surtout le soir quand les petits bateaux à moteur sont retournés au port le plus proche. Le vent fort de NO qui s’installe en fin d’après midi et qui soufflera toute la nuit n’est pas gênant.

Le jour suivant, nous changeons de crique pour aller dans le golfe de Lacona. Mouillage derrière une barre rocheuse, tout aussi beau que le 1er. Comme nous sommes arrivés tôt, j’ai du temps pour finir de gratter la coque et poncer l’hélice où quelques traces calcaires de mollusque ont résistée à mon 1er grattage. L’eau est à peine plus chaude qu’à Saint Cyprien et le shorty est bienvenu. Catherine refuse de se baigner...

Notre 3ème escale est Porto Azzurro. Pour y aller, nous contournons la pointe SE de l’île, site d’anciennes carrières de minerai de fer.

Le village de Porto Azzurro est très sympathique, le port attire beaucoup de touristes et les terrasses font le plein à l’heure de l’Apérol spritz.

Nous restons deux jours dans ce petit paradis. Nous faisons le tour de la citadelle qui a jadis servi aussi de prison pour aller voir la très belle plage de Barbarossa et terminons la balade à la terrasse d’un petit bistro du port.

notre parcours

notre parcours

Elbe, mouillage de Barbotoia

Elbe, mouillage de Barbotoia

Elbe, mouillage de Lacona

Elbe, mouillage de Lacona

Elbe, mouillage de Barbarossa

Elbe, mouillage de Barbarossa

Elbe, mouillage de Naregno

Elbe, mouillage de Naregno

Elbe, porto Azzurro
Elbe, porto Azzurro

Elbe, porto Azzurro

Elbe, ruelles de Porto Azzurro
Elbe, ruelles de Porto Azzurro

Elbe, ruelles de Porto Azzurro

rade de Porto Azzurro

rade de Porto Azzurro

Elbe, reste des mines de fer

Elbe, reste des mines de fer

moment détente après la balade

moment détente après la balade

Belle mer et bon vent nous poussent ensuite vers Livourne où nous louons une voiture pour visiter Pise en fin d’après midi, puis le lendemain Sienne et San Gimignano. Nous zapperons Florence car n’ayant réservé nulle part, nous ne pourrons rien visiter sans faire deux heures de queue,  un peu comme à Rome l’an dernier.

A Pise, nous constatons que la tour penche plus que ce que l’on imagine d’après les photos. La Cathédrale est grandiose. Malheureusement, vu l’heure tardive de notre visite, nous ne visiterons qu’elle.

Pour le retour à Livourne, nous longeons le front de mer ou le surprenant côtoie le kitch de mauvais goût.

elle penche

elle penche

Pise
Pise
Pise
Pise
Pise
Pise
Pise

Pise

Pise, la cathédrale
Pise, la cathédrale
Pise, la cathédrale

Pise, la cathédrale

Pise.... les nouveaux marchands du temple

Pise.... les nouveaux marchands du temple

Pise, il y a aussi une tour droite

Pise, il y a aussi une tour droite

A Sienne, une panne généralisée nous empêche de visiter les beaux monuments. Nous parcourons les petites rues pavées qui entourent la Piazza del Campo, célèbre place où ont lieu les courses de chevaux aux couleurs de chaque quartier. Nos pas nous amènent au sanctuaire de St Catherine de Sienne, un hasard.

Sienne
Sienne
Sienne
Sienne
Sienne

Sienne

Sienne, la Cathédrale où la queue est figée par la panne electrique
Sienne, la Cathédrale où la queue est figée par la panne electrique

Sienne, la Cathédrale où la queue est figée par la panne electrique

Sienne, Plazza del Campo et ruelle adjacente
Sienne, Plazza del Campo et ruelle adjacente
Sienne, Plazza del Campo et ruelle adjacente

Sienne, Plazza del Campo et ruelle adjacente

Sienne, le cheval sous toutes ses formes

Sienne, le cheval sous toutes ses formes

Sienne, panorama

Sienne, panorama

Sienne, sanctuaire de St Catherine

Sienne, sanctuaire de St Catherine

Sur la route du retour, sur les conseils d’Elisabeth qui a visité la Toscane quelques jours avant,  nous ne manquons pas San Gimignano. Surprenante bourgade au sommet de sa colline où les bourgeois du coin ont construit des tours assez monumentales... à qui aura la plus grande !!! Ca leur aurait sûrement coûté moins cher de jouer à qui pisse le plus loin mais le village en aurait perdu de sa singularité.

San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano
San Gimignano

San Gimignano

San Gimignano vu de loin

San Gimignano vu de loin

De Livourne, nous aurons surtout arpenté la « petite Venise »(qui ne vaut pas la vraie) et la nouvelle citadelle (en aussi piteux état que l’ancienne).

Livourne, la petite Venise
Livourne, la petite Venise
Livourne, la petite Venise
Livourne, la petite Venise

Livourne, la petite Venise

Livourne, la nouvelle citadelle
Livourne, la nouvelle citadelle
Livourne, la nouvelle citadelle
Livourne, la nouvelle citadelle

Livourne, la nouvelle citadelle

Livourne, la cathédrale, fermée au public

Livourne, la cathédrale, fermée au public

La Spezia, notre escale suivante est aussi notre point de départ pour visiter les 5 Terre. Le train qui nous y emmène est bondé, il faut dire qu’on est Dimanche...

La Spezia, promenade le long du port et rue avoisinante
La Spezia, promenade le long du port et rue avoisinante
La Spezia, promenade le long du port et rue avoisinante

La Spezia, promenade le long du port et rue avoisinante

Nous arrivons à Riomaggiore, 1er village accroché à la montagne avec son minuscule port, tout en bas. Un saut de puce plus loin, c’est Manarola qui nous accueille, lui aussi accroché à sa montagne mais avec un port un peu plus grand. Le 3eme village, Corniglia,  lui est perché sur son promontoire et il faut escalader une interminable volée de marche pour y accéder. Comme la faim se fait sentir, nous trouvons un petit estaminet où nous mangeons les fameuses focaccia. La véritable est faite de deux couches de pâte sans levure (farine, eau, huile d’olive et sel) enveloppant une préparation à base de fromage très frais, dans laquelle on peut trouver moult ingrédients très finement hachés. Un délice.

Une fois remis de nos efforts, nous redescendons à la gare pour visiter les deux derniers villages.

Vernazza, le plus beau à notre goût, puis Monterosso, le plus quelconque, installé dans une vallée plus ouverte et dont la plage accueille comme partout en Italie des sociétés de bains de mer (des portions de plage privée, avec sun-bed, parasol et bar distillant de la musique le plus fort possible) 

Le soir, nous sommes cuits... par la chaleur et par la fatigue.

Riomaggiore

Riomaggiore

Manarola
Manarola
Manarola
Manarola
Manarola

Manarola

Manarola vu depuis Corniglia

Manarola vu depuis Corniglia

Corniglia, les escaliers de la mort

Corniglia, les escaliers de la mort

Corniglia, vignes et jardins

Corniglia, vignes et jardins

Vernazza
Vernazza
Vernazza

Vernazza

les deux extrémités de Monterosso, ce qui est entre n'a aucun intérêt
les deux extrémités de Monterosso, ce qui est entre n'a aucun intérêt

les deux extrémités de Monterosso, ce qui est entre n'a aucun intérêt

Le port antique de Gènes se trouve dans un dédale de chenaux, de darses et de bassins. Cette « marina» est idéalement placée pour visiter la vieille ville. Nous avons aimé flâner dans ces ruelles où les étals de fruits débordent dans le passage. Nous avons aussi été impressionnés par la Piazza de Ferrari face au majestueux palais ducal et la cathédrale nous a semblé moins belle que l’église San Pietro, perdue dans les ruelles et que nous avons visité un peu par hasard.

Gènes
Gènes
Gènes

Gènes

Gènes, la cathédrale

Gènes, la cathédrale

Gènes, profusion de marbre dans l'église San Pietro

Gènes, profusion de marbre dans l'église San Pietro

Gènes, palais ducal

Gènes, palais ducal

Gène, plazza de Ferrari
Gène, plazza de Ferrari

Gène, plazza de Ferrari

Gènes, porte Est

Gènes, porte Est

Pour quitter le port de Gènes, nous longeons une interminable digue qui abrite encore plus de darses que la digue Est. 4 milles pour sortir du port, encore, nous avons pris la passe centrale, car cette digue continue encore sur 2, milles vers l’ouest ! À la sortie du port, nous nous faisons doubler par un petit vraquier qui si on en croit son AIS arrivera demain midi à Marseille !

Arrivé à Loano, nous découvrons que cette très belle marina est équipée de cat-way, qu’ils appellent ici des « doigts ».

Petite balade en fin d’après midi pour découvrir la charmante bourgade. C’est un peu par hasard que nous trouverons le vieux quartier très animé. L’endroit est charmant et nous nous posons à une terrasse pour profiter du moment.

Loano, rues du vieux quartier
Loano, rues du vieux quartier

Loano, rues du vieux quartier

Loano, beaucoup de façades en trompe l'oeil

Loano, beaucoup de façades en trompe l'oeil

Loano, une des nombreuses croix de procession (à faire les jours sans vent)

Loano, une des nombreuses croix de procession (à faire les jours sans vent)

Le soir, la météo nous annonce un risque de vent fort pour les jours à venir. Nous décidons de sauter la dernière étape italienne prévue et d’aller le plus loin possible vers Nice où nous sommes attendu pour le WE.

C’est à Menton qui nous nous amarrons sous l’oeil de la web-cam .... nous voici en France continentale que nous avions quittée en avril 2015

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article